Médicaments : chercher aussi des alternatives non médicamenteuses
Quand un médicament utile s’avère dangereux, le premier réflexe consiste à lui substituer un autre médicament.
Il serait souvent beaucoup plus intelligent de le remplacer par un traitement non médicamenteux.
Ainsi, par exemple, chez les personnes âgées, il est de plus en plus évident que les somnifères et les anxiolytiques les plus utilisés actuellement (les « benzodiazépines ») augmentent le risque de perdre la mémoire et, même, de développer une « démence sénile ». Mais, si on les remplace par d’autres médicaments plus récents, comme les neuroleptiques, les effets indésirables risquent d’être plus graves et plus fréquents. Alors, que faire ?
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