Alcool : conseils de et pour gros buveurs
Certains « gros buveurs » sont, à leur façon, des « experts » pouvant donner de bons conseils sur les moyens de modérer sa consommation, dans l’espoir d’en retarder les conséquences catastrophiques à moyen ou long terme.
Les médecins qui les soignent en ont retenu trois :
1. Essayer de ne boire qu’avec des amis.
La dépendance à l’alcool s’accompagne d’une dégradation de la vie famille et des relations professionnelles et sociales. En évitant de boire de l’alcool en solitaire quand les dégâts relationnels s’installent, on est forcé de réduire sa consommation. Attention : relation de comptoir de bistrot ne veut pas dire « ami » ; ce sont souvent des solitaires qui ne veulent pas se l’avouer.
2. Ne boire « que du bon ».
Boire un alcool de bonne qualité est un plaisir, mais la qualité se paie. Quand on n’a plus les moyens de se l’offrir, c’est le signe que la consommation commence à retentir sur les finances. S’astreindre à ne boire « que du bon », aide à réduire sa consommation quand les dégâts financiers prennent de l’ampleur.
3. Manger de la viande.
Les complications neurologiques de la consommation d’alcool (paralysies, atteintes des jambes et du cerveau, etc.) sont provoquées par des carences en vitamines contenues dans la viande. Les plats à base de viande sont d’ailleurs populaires dans les régions viticoles : entrecôte bordelaise, bœuf bourguignon, etc.
Source : Open Rome
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